Cote/Cotes extrêmes
Date
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Importance matérielle
Biographie ou Histoire
Cette châtellenie a porté indifféremment le nom de Liernais seul, et celui de Liernais-Saint-Martin (Commune de Saint-Martin-de-la-Mer). Cette ancienne paroisse fut peut-être pour cette juridiction plus qu'un simple membre ressortissant. On peut envisager une association quasi fusionnelle entre les deux, mais faute de documents et dans le doute, le nom de Liernais seul prime.
La commune de Saint-Martin-de-la-Mer est située en Côte-d'Or, entre Saulieu et Liernais. Elle est limitrophe de la commune nivernaise d'Alligny-en-Morvan.
Le duc de Nivernais Mazarini-Mancini était au XVIIIe siècle seigneur propriétaire justicier de la terre, justice et seigneurie de Liernais.
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Mots clés matières
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Documents en relation
Les Archives départementales de la Nièvre conservent une copie numérique du terrier de la châtellenie de Liernais de 1662 (cote 1 Num 2), consultable en ligne sur le site internet.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Caractéristiques physiques
Présentation du contenu
Les lacunes sont mineures puisqu'elles concernent uniquement la page de garde et le début des lettres à terriers (folio 1). Le contenu de la page de garde est sans originalité et, sauf la date de délivrance, les lettres à terriers sont aussi très généralistes (lettres types). D'autres fonds anciens peuvent d'ailleurs en conserver des copies.
Contient en particulier :
Copies des actes produits pour leur réalisation (tous les terriers n'ont pas la chance de les avoir conservés en ouverture) : lettres à terrier données à Paris (9 mars 1771), sentence d'enregistrement (avril 1771), procès-verbaux de publication, proclamation et procuration extraits du registre des délibérations de la chambre des comptes de Nevers (1771), copie du très long procès-verbal de descente (inspection) des limites de la châtellenie et les droits seigneuriaux (juin 1777). Ce dernier document revêt une très grande valeur historique.
Les premières reconnaissances portées au registre, et contemporaines de sa création, sont datées de janvier 1779, huit années seulement après le lancement du processus de réalisation.
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