29 B 1-29 B 5
Archives de la Nièvre
Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Biographie ou Histoire
Nous sommes bien en la châtellenie de Coches (commune de Vielmanay) et Vielmanay, mais les multiples appellations du ressort varient : "châtellenie de Coches et Vielmanay", "justice de Coches et Vielmanay", "bailli de la justice de Coches et Vielmanay". "Bailliage de Coches et Vielmanay".
C'est sans compter la ponctuelle désignation de "terre et seigneurie", qui pourrait nous faire penser à une simple justice seigneuriale de village et pas à une châtellenie, ou bien cette expédition de 1668, qui rappelle une minute de 1666 établie sous le scel des contrats "du bailliage et châtellenie de Guerchy, Vesvre, Le Puisac, Maizières et de Vielmoulin, pour René de Thibault écuyer seigneur desdits lieux".
On trouve signalés parmi les membres de la châtellenie de Coches et Vielmanay : Le Puisac ou "Le Puisat", Maizières ou "Maisières", Vevre ou "Vesvres", tous situés sur l'actuelle commune de Garchy. On trouve aussi tout ou partie du fief de Vieux-Moulin ou "Vielmoulin (commune de Vielmanay), qui ressortissait de la châtellenie de Nevers, en la baronnie de Frasnay-les-Chanoines.
Histoire de la conservation
La réintégration des archives déclassées en 1976 (sous-série provisoire 85 B : Bailliage de Garchy ou "Guerchy", sous-série provisoire 139 B : Bailliage de Vielmanay) au bénéfice du vrai ressort de Vielmanay (29 B) s'est faite non sans difficultés à cause des appellations et des répartitions douteuses.
Mots clés lieux
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Cote/Cotes extrêmes
Cote/Cotes extrêmes
Date
Caractéristiques physiques
Biographie ou Histoire
Une commission de saisie, depuis ses débuts jusqu'à sa conclusion, pouvait durer quelques décennies.
Présentation du contenu
Contient en particulier :
Les pièces les plus anciennes sont des documents annexes. Le père Symonot était dépositaire des meubles de feu René de Thibault sieur de "Vielmoulin" à Vielmanay et cette responsabilité a entraîné sa chute. En 1682, la famille s'était lancée dans de gros travaux pour réparer sa maison dite "de la bonnetterie". En 1688, la veuve et son fils étant aux abois, ils engagent le renoncement à la communauté, exhibant un "acte de répudiation" face au créancier.
La liasse renferme les grosses (copies de minutes) rédigées par François Balangier, notaire et successeur dépositaire de l'étude et charge notariale paternelle de Vielmanay, en 1691 à partir des minutes de son père de mars et octobre 1665.
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