Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Biographie ou Histoire
En 1783, le roi autorise la réunion de sa châtellenie de Garchizy et d'autres ressorts (Chaulgnes, La Marche) de même nature avec la châtellenie de Pougues-les-Eaux. En fait, la réunion de Garchizy avec Pougues est déjà consommée, mais la réunion officielle aura lieu en 1787 seulement.
Il convient de savoir aussi qu'une partie de la paroisse de Garchizy n'était pas ressortissante de la châtellenie de Garchizy, mais ressortissait de la châtellenie de Pougues (40 B 11), et que des hameaux (villages, lieux-dits) de Garchizy alternaient entre cette paroisse et celle de Varennes-lès-Nevers (commune de Varennes-Vauzelles).
Histoire de la conservation
En plus de ce fonds et pour une grande part, les archives de la châtellenie de Garchizy sont à rechercher dans le fonds commun de la châtellenie de Pougues, quand la production a été non pas associée mais littéralement fusionnelle.
Certains greffiers ou officiers du siège commun de Pougues avaient pour habitude d'émarger leurs actes au nom du ressort producteur. L'on trouvera dans ce fonds relocalisé (40 B) de Garchizy des actes émargés au nom du ressort de Pougues. Peut-être le greffier ou l'archiviste se sont trompés de producteur, il s'agit d'affaires localisées à Garchizy en des endroits de la paroisse qui ressortissaient pourtant de Pougues.
Mots clés lieux
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Cote/Cotes extrêmes
Présentation du contenu
Sont interessées les familles Autievre ou Authievre, Berger, Bourdier, Cadiot, Cheuté, Fauchet, Ganichon, Gueneau, Guenot, Jodier, Laronde, Lherbier, Louton, Malou, Mellier, Mestre, Pivert, Rogue, Rousset, Seve, Vacheron.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Caractéristiques physiques
Présentation du contenu
Contient en particulier :
En 1771, le mineur Jacques Rousset a treize ans, il est infirme et hors d'état de gagner sa vie. Lui reste son grand-père maternel qui rend des comptes de tutelle pour assurer sa pension de pupille.
En 1771, le sieur Berger des Barres est cessionnaire de Marandat architecte de Nevers, lui même cessionnaire de damoiselle Latour sa femme héritière de son père, qui avait cession de Mgr Fontaine des Montées évêque de Nevers. Étant en action contre les mineurs héritiers d'Édouard Berger, il dut attendre que les enfants fussent sous tutelle pour préserver leurs droits.
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