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Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Origine
Biographie ou Histoire
Pierre Chevenard est né le 31 décembre 1888 à Thizy (Rhône), où son père, mort peu après, possédait une usine. Pierre sort premier de l'Ecole nationale des Mines de Saint-Etienne en 1910 et est engagé par la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville, d'abord à Decazeville, puis à l'aciérie d'Imphy (janvier 1911).
Imphy compte dans ses fabrications des alliages, dont l'Invar, découvert par Charles Edouard Guillaume, mais le laboratoire un peu délaissé est confié à des ingénieurs stagiaires. C'est le cas de Chevenard, mais il est métallurgiste et s'intéresse à la métallographie. Le directeur d'Imphy, Georges Piélin, et Henri Fayol, le directeur général de la société, souhaitaient alors créer un service de recherches pour les fabrications spéciales : vite convaincus par Chevenard, ils le chargent de le diriger, à la fin 1911. La tâche "scruter les alliages sidérurgiques spéciaux" est importante stratégiquement, car Imphy s'oriente de plus en plus vers des productions d'acier à grande valeur ajoutée pour soutenir la concurrence des puissantes aciéries de l'Est. Equiper le laboratoire, quitte à créer soi-même des appareils de mesures plus performants (le dilatomètre à lecture directe dès 1911), former le personnel, "imprégner l'usine de science et y faire régner une mystique de qualité", selon ses propres termes, sont ses moyens d'action.
Cet esprit scientifique est si marqué chez les dirigeants de la société que Chevenard est autorisé à publier les résultats de ses recherches : en 1914 paraissent un mémoire dans la Revue de Métallurgie et une note à l'Académie des Sciences, premiers écrits scientifiques d'une longue série : environ 130 mémoires et 80 notes jusqu'en 1953. Chevenard fera honneur plus tard à la Société de cette ouverture d'esprit, de cette "largeur de vue", qui permet en retour aux scientifiques d'apporter leurs éclaircissements aux chercheurs industriels, comme le fera par exemple Albert Portevin sur l'analyse dilatométrique des matériaux.
A la déclaration de guerre de 1914, il est réformé (sans doute à cause de son "coeur déficient") et reste à Imphy, chef des Etudes métallurgiques. Il se consacre davantage à la qualité des fabrications (de guerre), mais met aussi au point le dilatomètre différentiel enregistreur auquel son nom est attaché (1916) et plusieurs alliages résistants à la chaleur, à la corrosion ou à la vapeur (comme l'A.T.V., qui servira aux turbines).
Pierre Chevenard prendra le temps de se marier en 1917. Il aura six enfants, dont un fils prêtre. Lui-même neveu de prêtre, élève reconnaissant de l'enseignement catholique, appartient à la catégorie des scientifiques chrétiens et n'en fait pas mystère.
Sur la fin de la guerre, il se donne un adjoint et peut en 1919 réorganiser son activité : il délègue l'assistance technique à la fabrication et consacre le Service des Recherches aux recherches d'application moins immédiate. Il peut dès lors accepter d'assurer en même temps un cours de métallurgie... à l'Ecole des Mines de Saint-Etienne et se partager entre deux tâches qui le passionnent : chercher et transmettre ("ses cours ne sont pas courts !" plaisantaient ses élèves). Cette activité d'enseignement supérieur et ses nombreuses publications lui permettent d'entrer en contact avec d'autres métallographes français et étrangers. Le Services des Recherches d'Imphy, doté en 1926-1928 de nouveaux moyens matériels (un bâtiment spécifique et bien équipé) et humains (des chercheurs spécialisés, dont Xavier Waché), poursuit ses études sur les propriétés des alliages et continue à se créer ses propres appareils de mesures. Un petit atelier se consacre à leur fabrication et ils sont commercialisés au bénéfice de la Société.
En 1935, la Société décide de créer une direction scientifique pour l'ensemble de ses usines (Imphy, Decazeville, Pamiers, Mazières et les Forges d'Ivry, Commentry et Fourchambault ayant déjà fermé). Elle est confiée à Chevenard, qui doit renoncer à sa chaire de Saint-Etienne et habiter Paris, où se trouve le siège social. Le Service des Recherches d'Imphy est dirigé par Waché, auxquels se joignent Emile Josso et Pierre Jean Bouchet. Dans le contexte de la crise des années 1930, le service se consacre moins à la recherche de nouveaux alliages qu'à la qualité de la fabrication des existants, par le suivi minutieux de la qualité (les appareils de mesure "maison" sont de plus en plus variés et précis) et par la formation professionnelle. Chevenard supervise les cours de perfectionnement destinés à la future maîtrise d'Imphy, en établit le programme et ne dédaigne pas d'y faire la leçon inaugurale.
En juin 1940, l'usine d'Imphy cesse toute activité. Chevenard tente de passer en Angleterre (il y est déjà connu dans son domaine et y a séjourné au début de l'année), mais son avion est abattu en Normandie par la DCA... anglaise le 10 juin 1940 et il renonce. L'usine d'Imphy est remise en route sous la direction de Louis de Mijolla, mais marche au ralenti, faute d'approvisionnements, de personnel (requis par le STO) et d'un quelconque esprit de collaboration avec l'occupant, à tous les niveaux. Pierre Chevenard poursuit son rôle de coordination, d'animation. En 1943 est créé à Ivry l'ADAMEL, Ateliers d'Appareils de Mesures et de Laboratoires, chargé de fabriquer et de commercialiser ses appareils, sur lesquels il a cédé tous ses droits à la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville.
L'après-guerre voit se succéder pour Chevenard les grands honneurs dans l'ordre industriel et scientifique : reçu à l'Académie des Sciences en 1946, administrateur de Commentry-Fourchambault et Decazeville en 1949, président d'ADAMEL, devenu filiale, en 1950, commandeur de la Légion d'Honneur en 1954 (il était chevalier depuis 1931 et officier depuis 1939), président de plusieurs sociétés techniques (Association technique de Fonderie, Société française de Métallurgie) et savantes (Société française de Minéralogie, Société Astronomique de France). Il semble avoir été sensible à cette reconnaissance de son oeuvre.
Pierre Chevenard se retire après la commémoration du centenaire de la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville, devenue Société Métallurgique d'Imphy, en 1954. Son état de santé ne lui permet pas d'assister en novembre 1959 à l'inauguration de son buste à l'Ecole des Mines de Saint-Etienne. Il meurt le 15 août 1960 à Fontenay-aux-Roses. Par la suite, ses archives scientifiques ont été regroupées au Centre de Recherches d'Imphy, successeur sous un autre nom et sur un autre site, de "son" Service des Recherches.
Histoire de la conservation
Les archives professionnelles de Pierre Chevenard déposées aux Archives départementales avaient été conservées dans la bibliothèque du Centre de Recherches d'Imphy. Elles semblent y avoir été rassembléees à partir de plusieurs provenances : archives laissées dans le service d'Imphy, archives rapatriées du siège social de la Société à Paris, qui recevait un double des travaux de Chevenard, et le domicile de Chevenard à Paris (la correspondance et quelques pièces proprement familiales). Ce regroupement explique que de nombreux textes et mémoires sont en double, voire en triple exemplaire. La plupart des dossiers (mémoires, notes, allocutions) avaient fait l'objet d'un archivage soigneux : chemises légendées et datées, enveloppes calligraphiées, chemises cartonnées avec indication détaillée du contenu. Il est possible que ce travail ait été fait au moins en partie par Chevenard lui-même, avant sa retraite.
Ces archives ont fait l'objet d'un récolement détaillé sur place, sans classement, par Nathalie Legrand en 1992. Le contenu du dépôt et de ce récolement ne coïncident pas totalement : la collection d'ouvrages est restée sur place, à l'exception des oeuvres de Chevenard lui-même, en collection reliée.
Modalités d'entrées
Dépôt par Imphy Ugine Précision, le 26 novembre 2003.
Présentation du contenu
Le fonds couvre toute la période d'activité de Chevenard à Imphy et pour la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville (1911-1954), et va même au-delà pour quelques documents à caractère personnel ou préparés par le Service des Recherches après son départ. Le fonds est classé selon l'ordre suivant :
- Documents à caractère biographique. Peu de documents ont un caractère vraiment personnel, intime (95 J 1 à 3). L'essentiel de la rubrique est composé de notes et de textes d'allocutions prononcées à diverses occasions (cérémonies à Imphy, à l'Ecole des Mines de Saint-Etienne, à l'Académie des Sciences, congrès, remises de décorations, funérailles...). Ces documents sont riches en autobiographies : Chevenard présente souvent sa carrière officielle ou parle de lui. A signaler pour l'anecdote une collection de menus souvent dédicacés par les confrères scientifiques, l'allocution prononcée à son mariage par un oncle prêtre ou le récapitulatif de ses pérégrinations en 1940.
- Documents à caractère administratif. Cette rubrique peu fournie contient quelques documents sur l'organisation et l'historique d'Imphy. Le rôle proprement dit de Chevenard comme directeur scientifique apparaît dans une série thématique de dossiers d'organisation (installations, travaux à mener, enseignement) établie systématiquement en 1939-1940.
- Correspondance. Nous ne possédons que la correspondance reçue par Pierre Chevenard, émanant en général d'autres scientifiques, y compris étrangers. S'y trouvent quelques noms illustres : Louis de Broglie, Georges Claude, Irène Joliot-Curie, Louis Lumière (mais Becquerel, Berthelot et M. Curie ne sont pas les célébrités de ce nom), mais les correspondants les plus abondants sont Albert Portevin, autre savant spécialiste de la métallurgie, et Louis de Mijolla, directeur de la Société.
- Travaux de laboratoire et expériences. La rubrique regroupe la cinquantaine de carnets et cahiers tenus à partir de 1911 pour noter les résultats des essais faits avec les différents appareils. La plupart semblent n'avoir servi qu'à une seule campagne d'essais, mais l'ensemble couvre toute la période Chevenard (1911-1954).
- Notes de travail. Ont été regroupés sous ce titre les préparations d'articles qui semblent ne pas avoir abouti et quelques ouvrages sans rapport direct avec ses activités.
- Notes de cours. Cette rubrique comporte aussi bien ses notes comme élève de l'Ecole des Mines de Saint-Etienne que sa série de cours comme professeur dans la même école. Chevenard s'est aussi intéressé à l'enseignement professionnel à Imphy, supervisait le programme et présentait la leçon inaugurale.
- Travaux scientifiques. C'est la partie la plus importante du fonds, en quantité comme en contenu. Le fonds recueille, en double ou triple exemplaire, environ 130 mémoires scientifiques et 80 notes à l'Académie des Sciences. Les trois séries comprennent les articles publiés, tirés à part reliés par les soins du Centre de Recherches d'Imphy, et deux séries de textes (dactylographiés, comme c'est le cas de presque tous les articles du fonds) sous enveloppes, avec parfois les figures correspondantes et éventuellement une documentation complémentaire. S'y ajoutent les notes de collaborateurs à l'Académie, les préfaces, les discussions (critiques des mémoires d'autres chercheurs), les conférences et allocutions.
- Documents sur support spécifique. Les figures (schémas, diagrammes) complètent la collection des travaux scientifiques, dont elles étaient séparées pour des raisons de format : grandes enveloppes ou au contraires petites boîtes de diagrammes, ou de matière : quelques diagrammes sont sur plaques de verre. Le fonds contient aussi une intéressante série de photographies de l'usine d'Imphy et de ses environs, de 1911 (ce qui laisserait supposer que c'est Chevenard qui a pris l'initiative) à 1932 et au-delà, les deux cents derniers clichés n'étant pas datés. Elles montrent les installations de l'usine et certaines productions, mais surtout les travaux d'extension et aussi la construction des cités ouvrières dans l'agglomération d'Imphy. L'histoire de l'entreprise est aussi illustrée par l'album Mijolla, constitué après le départ de Chevenard. Des collections personnelles de celui-ci proviennent enfin des portraits de scientifiques ou d'industriels, dont certains encadrés, et un échantillon de nickel gravé à son nom.
Évaluation, tris et éliminations, sort final
Comme convenu lors du dépôt, aucune élimination de documents n'a été effectuée. Seules quelques enveloppes vierges ayant servi au classement de la correspondance, en double ou contenant au contraire plusieurs correspondants, n'ont pas été conservées.
Mode de classement
Le fonds a été inventorié selon les principes de classement proposés par la Direction des Archives de France pour les archives personnelles des scientifiques.
La répartition des dossiers de travail sur les deux sites principaux où travaillait Chevenard (Paris et Imphy) a engendré de nombreux doublons. Chaque site avait constitué ses séries de documents (mémoires, notes, allocutions, voire souvenirs). Ce double classement a été conservé pour les archives proprement scientifiques (mémoires, notes, conférences, etc.) car il a été fait avec rigueur : dossiers numérotés, table des matières sur chaque chemise. En revanche, il a paru préférable de le remanier complètement pour les documents dits personnels (" notes personnelles ", " souvenirs ", Académie ", " notices nécrologiques "), qui avaient été rassemblés dans deux séries d'enveloppes et de chemises, mais sans véritable classement : les thèmes sont conservés, mais les dossiers regroupés par sous-thème, puis chronologiquement. Par exemple, les deux enveloppes " Notices nécrologiques - Discours de funérailles ", au contenu presque identique, ont laissé place à un article " Notices nécrologiques " et un article " Discours de funérailles ". Il était d'autant moins utile de conserver ce mode de rangement (plutôt que de classement) que la provenance exacte des enveloppes et des chemises n'était pas identifiable.
Conditions d'accès
Elles sont prévues par le contrat de dépôt passé entre Imphy Ugine Précision et les Archives départementales de la Nièvre : "Article 6 : IUP donne une autorisation permanente et limitée de communication des documents faisant l'objet du dépôt : IUP interdit toute utilisation commerciale des documents donnés en dépôt. Seule la consultation sur place est autorisée."
"Article 7 : Les conditions de communication prévues à l'article 6 sont applicables aux documents de toute nature, qu'il s'agisse d'originaux ou de reproductions, quel que soit le support utilisé."
Conditions d'utilisation
Elles sont prévues par le contrat de dépôt passé entre Imphy Ugine Précision et les Archives départementales de la Nièvre : "Article 6 : Sans accord préalable et exprès d'IUP, toute reproduction, quelle que soit la technique utilisée (photocopie, numérisation...), quel que soit le support utilisé (papier, photocopie...) est interdite."
"Article 7 : Les conditions de communication prévues à l'article 6 sont applicables aux documents de toute nature, qu'il s'agisse d'originaux ou de reproductions, quel que soit le support utilisé."
Langue des unités documentaires
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques
Le fonds est dans un bon état général de conservation. Seuls les carnets de laboratoire ont pu souffrir de l'humidité à l'époque où ils étaient conservés dans le grenier de l'ancien bâtiment du service des recherches. Une attention toute particulière devra être portée à la manipulation des négatifs en plaques de verre, des négatifs sur film et des photographies en général.
Autre instrument de recherche
Legrand (Nathalie), Etat détaillé des archives du centre de recherches d'Imphy : archives de Pierre Chevenard, Imphy, 1992. 36 pages.
David (Véronique), Répertoire numérique du fonds Pierre Chevenard, Nevers, 2004.
Documents en relation
Archives publiques : séries M (économie), R (main-d'Suvre en temps de guerre), S (industrie).
Sous-série 9 M (économie), dont M 2223-2234 Centre d'apprentissage d'Imphy (1923-1938).
Sous-série 10 M (travail), dont M 6495 Syndicats professionnels métallurgie 1901-1940) et M 2474 Conflits du travail dans la métallurgie (1936-1938).
Sous-série 4 X (prévoyance sociale, sociétés de secours mutuels), dont X 3018, 2021-4 et 2043 Solidarité imphycoise (1906-1943), X 2044, 2022-4 Personnel des aciéries d'Imphy (1914-943)
Versements du Cabinet du préfet, dont 137 W 107 Aciéries d'Imphy, conférence (1939-1940), dossier de presse (1955-1966), visites (1959-1965), 137 W 213 Aciéries d'Imphy, climat social (1954-1968).
Archives privées : 1 J 273 (dessins industriels et planches aquarellées du XIXè, dont un convertisseur Bessemer et le laminoir d'Imphy), 93 J (fonds de l'usine Lambiotte, client potentiel pour l'équipement de son laboratoire en 1933-1936).
Sources externesArchives municipales d'Imphy.
Archives de la Société de Commentry-Fourchambault et Decazeville aux Archives nationales (59 AQ).
Archives de l'Ecole nationale des Mines de Saint-Etienne.
Archives de l'Académie des Sciences et des autres sociétés savantes auxquelles appartenait Pierre Chevenard.
Archives départementales du Rhône et de Haute-Loire pour les affaires relatives à sa famille. Il est à noter que Pierre Chevenard n'a pas longtemps habité à Imphy (de 1911 à 1919 seulement) et s'est marié à Moulins. Aucun de ses enfants n'est né à Imphy.
Bibliographie
Bibliographie sur Chevenard et les Aciéries d'Imphy :
ANDRE (Jean).- Une Usine méconnue : Imphy (Nièvre).- Diplôme d'études approfondies de géographie, manuscrit.- Clermont-Ferrand, 1985.
CARIO (Fabrice).- Le Vieux Nevers et ses cantons.- Autun : Editions de la Licorne, 1984.
DUFFAUT (François).- Actualité du concept de métallurgie de précision.- Actes du colloque "Innovations métallurgiques en Nivernais ", 1996.
DUFFAUT (François).- La recherche à Imphy entre 1885 et 1914.- Actes du colloque "La situation du Nivernais en 1900", 2000.
DUFFAUT (François).- "Pierre Chevenard Concepteur et constructeur d'appareils de laboratoire", le Marteau-Pilon n° XIV, 2002.
GRISOT (Alain-Noël).- La Révolution industrielle dans la Nièvre : l'exemple d'Imphy au XIXème siècle.- Nevers : Direction des Archives Départementales, 1996.- Dossier documentaire n° 9.
LAMBRET (Eric).- Cent ans d'Invar.- Mémoire de diplôme d'études approfondies, 1995 [ne se trouve pas aux Archives départementales de la Nièvre].
LAMBRET (Eric).- L'Suvre métallurgique de Charles-Edouard Guillaume, Prix Nobel 1920 et sa collaboration avec les Aciéries d'Imphy [l'auteur parle essentiellement de Chevenard].- Actes du colloque "Innovations métallurgiques en Nivernais ", 1996.
LOYE (Paul de).- L'ingénieur Henri Fayol précurseur en son temps de l'innovation organisationelle.- Actes du colloque "Innovations métallurgiques en Nivernais", 1996.
MASSE (Alfred).- Monographies nivernaises : canton de Nevers.- Nevers : Ropiteau, 1912.
La Société de Commentry - Fourchambault et Decazeville 1854-1954.- Paris, Office de Propagande Générale, 1954. Cet ouvrage est appelé aussi "le livre du centenaire" et Chevenard a contribué à sa rédaction.
THUILLIER (Guy).- "Charles-Edouard Guillaume et Imphy", le Marteau-Pilon n° IV, 1992.
VIVIER (Aimé).- "Pierre Chevenard et la métallurgie nivernaise", Bulletin de la Société Nivernaise des Lettres, Sciences et Arts n° 38.- Nevers : 1990.
Informations sur le traitement
Véronique David
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