Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Biographie ou Histoire
En 1783, le roi autorise la réunion de sa châtellenie de Garchizy et d'autres ressorts (Chaulgnes, La Marche) de même nature avec la châtellenie de Pougues-les-Eaux. En fait, la réunion de Garchizy avec Pougues est déjà consommée, mais la réunion officielle aura lieu en 1787 seulement.
Il convient de savoir aussi qu'une partie de la paroisse de Garchizy n'était pas ressortissante de la châtellenie de Garchizy, mais ressortissait de la châtellenie de Pougues (40 B 11), et que des hameaux (villages, lieux-dits) de Garchizy alternaient entre cette paroisse et celle de Varennes-lès-Nevers (commune de Varennes-Vauzelles).
Histoire de la conservation
En plus de ce fonds et pour une grande part, les archives de la châtellenie de Garchizy sont à rechercher dans le fonds commun de la châtellenie de Pougues, quand la production a été non pas associée mais littéralement fusionnelle.
Certains greffiers ou officiers du siège commun de Pougues avaient pour habitude d'émarger leurs actes au nom du ressort producteur. L'on trouvera dans ce fonds relocalisé (40 B) de Garchizy des actes émargés au nom du ressort de Pougues. Peut-être le greffier ou l'archiviste se sont trompés de producteur, il s'agit d'affaires localisées à Garchizy en des endroits de la paroisse qui ressortissaient pourtant de Pougues.
Mots clés lieux
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
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Date
Caractéristiques physiques
Présentation du contenu
Contient en particulier :
En 1764, l'inventaire des biens du défunt fait apparaître "trois tableaux de famille" (des portraits sans doute) et ce qui pourrait être un tableau de l'école flamande. En plus de cela, du menu équipement qui se remarque un peu : un moulin, une arche à pétrir, une grande table de cuisine à deux tiroirs, des plats de faïence, une lèchefrite.
En 1787, les héritiers de Paponat (Le Piot, Bonnet, Bertin, etc.) auront leur part, mais la domestique Marie Leuzy, aura un lot de consolation intéressant : une rente assurée sur 700 livres de principal et son lit garni de draps. Tout cela pour ses bons soins et le peu de gages qu'il lui donnait. Le testament de 1785 est ouvert au décès en octobre 1787, contrôlé et insinué à Nevers dans la foulée. Sont rattachées au tout, les procurations de Lepiot curé de Sermoise et "Piot l'ainé".
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