Des déclarations équivoques portent à croire qu'une seule paroisse a existé avant la commune de Flez-Cuzy. Il y eut pourtant la paroisse de Cuzy ou Cuzy-sur-Yonne (commune de Flez-Cuzy) et la paroisse de Flez (commune de Flez-Cuzy). En plus de cela, Cuzy en Nivernais peut être confondue avec Cuzy dans l'Yonne.

Contient en particulier :

En 1773, marchand à Paris en la rue des Rosiers dans le Marais, Claude Rignault est né à Monceaux-le-Comte et fut baptisé en l'église Saint-Symphorien voilà 41 ans, fils de Claude et de Marie Rossignol. Le registre paroissial est lacunaire à la cure comme au greffe du bailliage royal, "où l'on dépose ordinairement une copie desdits registres".

En 1778, Léonard Daublat est mort en 1757 à Cuzy et son décès n'a pas été enregistré. Anne Mitton, sa belle-sœur se souvient qu'il est mort "quelques jours après Philbert Clerc son mari qui décéda (à Flez) le premier mai 1757".

En 1779, Jacques Vistelle vit à Nuars et a besoin de l'extrait baptistaire de son fils né de Françoise Perrin à "Cuzy-sur-Yonne", mais le curé ne trouve pas son acte dans les registres. Le fils y est né le 7 septembre 1762 et fut baptisé à la Notre-Dame suivante.

En 1782, Claude Goury est né en juin 1757 à Cuzy, du légitime mariage de feus Roger Goury et Anne Conan. Le curé Fauleau déclare ne rien avoir trouvé aux baptêmes "de cette paroisse de Flez-Cuzy" et l'attestation est signée "Fauleau curé dudit Cuzy".

En 1785, un marinier de Nevers réclame la preuve de son baptême à Saint-Didier. Il vient accompagné de ses témoins : l'oncle boulanger à Tannay, l'autre vigneron à Cuzy, un autre encore marchand à Amazy, les cousins de Lys et de Cuzy et aussi la cousine sa marraine. Jean Gagnard est du 14 octobre 1751, fils d'Anne Perrin et du meunier.

En 1785, une déclaration de baptême à Monceaux-le-Comte a mis le meunier Pierre Perrevé et Marie Cornu en émoi. Leur fils Léger est bien né le 1er août 1766, mais il est noté comme étant fils du tisserand Antoine Chareton et de Pierrette Page. Une mention sera émargée pour rétablir la vérité, au soulagement des Cornu comme des Chareton.