Châtellenie de Corvol-l'Orgueilleux

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Cote/Cotes extrêmes

14 B 1-14 B 74

Date

1614-1789

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Archives départementales de la Nièvre

Importance matérielle

1,46 ml

Mots clés matières

Cote/Cotes extrêmes

14 B 67-14 B 72

Cote/Cotes extrêmes

14 B 71

Aveux portés en la châtellenie. - Déclaration de Jeanne Petit contre Sébastien Lurier tous deux paroissiens de Corvol-l'Orgueilleux : procès-verbal (27 janvier 1767). Déclaration d'Agnès Rameau de Corvol-l'Orgueilleux contre Jacques Caillot marchand forain ordinairement en cette paroisse : procès-verbal (15 mars 1781). Déclaration de Jeanne Chauveau contre François Girault tous deux enfants de laboureurs de Corvol-l'Orgueilleux : procès-verbal (5 mai 1781). Déclaration d'Hélène Thomas fille du chirurgien de Corvol-l'Orgueilleux contre François Comte fils du regrattier de cette paroisse : procès-verbal (31 janvier 1783). Déclaration d'Agathe Carré paroissienne de Billy-sur-Oisy contre Jean Caillat vigneron au dit Billy son ancien maître : procès-verbal (22 février 1783). Déclaration de Marie Merle veuve Beauvais meunière au moulin des David à Corvol-l'Orgueilleux contre Étienne Manevy son domestique : procès-verbal (7 juillet 1783). Déclaration d'Agathe Cougnot paroissienne de Metz-le-Comte domiciliée à Corvol-l'Orgueilleux enceinte des œuvres d'un inconnu : procès-verbal (13 mars 1784). Déclaration d'Hélène Thomas de Corvol-l'Orgueilleux contre François Comte (déjà enceinte de lui en 1783) de cette paroisse : procès-verbal (27 décembre 1785). Déclaration de Marie Gueneau paroissienne de Courcelles domestique au moulin des Cailloux (commune de Corvol-l'Orgueilleux) contre Jean Cassin aussi domestique des lieux : procès-verbal (7 janvier 1786).

Cote/Cotes extrêmes

14 B 71

Date

1767-1786

Caractéristiques physiques

Neuf pièces papier.

Présentation du contenu

Contient en particulier :

En 1783, Manevy a séduit sa maîtresse, une veuve âgée de 30 ans. Elle comptait l'associer aux affaires du moulin et l'épouser. Désormais, plus de mots doux, il lui adresse des menaces et s'est réfugié chez son père.

En 1783 et 1785, par deux fois, François Comte a promis à la mère de ses enfants de l'épouser, sans jamais avoir gravé son nom au bas du parchemin.

En 1783, Agathe Carré est enceinte mais le fruit de ses entrailles résulte d'un viol. Elle a succombé à la force de son agresseur, dans l'écurie.