Châtellenie de la baronnie de Dornes

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Cote/Cotes extrêmes

62 B 1-62 B 34

Date

1743-1790

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Archives départementales de la Nièvre

Importance matérielle

0,30 ml

Biographie ou Histoire

Jusqu'au début du XIXe siècle, Dornes s'est écrit sans le "s" final, c'est pourquoi on ne trouve dans ces archives que l'orthographe "châtellenie de Dorne".

La juridiction de la châtellenie de Dornes chevauchant les provinces et duchés de Bourbonnais et Nivernais, les objets et affaires traités ressortissent du Nivernais ou du Bourbonnais et se rapportent aux coutumes de ces deux pays. C'est pour cette raison que l'on trouve parfois mentionné "des justices de Dornes", la production de la châtellenie a tenu compte de la localisation accordée par les officiers et auxiliaires de justice. Pour plus de clarté, nous avons précisé en analyse voir scindé en deux ensembles distincts, ce qui relève du Nivernais et ce qui relève du Bourbonnais.

Mots clés lieux

Mots clés matières

Cote/Cotes extrêmes

62 B 19-62 B 26

Cote/Cotes extrêmes

62 B 22-62 B 23

Vacances mobilières et immobilières en Bourbonnais. - Succession à Dornes de Jacques Prost cabaretier au bourg : procès-verbaux (octobre 1743). Succession à Dornes de Gilbert Defrance huissier : procès-verbal (mars 1748).

Cote/Cotes extrêmes

62 B 23

Date

10/1743-03/1748

Caractéristiques physiques

Deux pièces papier.

Présentation du contenu

Contient en particulier :

En 1748, l'huissier exerçait aussi en d'autre ressorts et d'autres fonctions : substitut du procureur d'office, procureur postulant, greffier, notaire et tabellion des justices de la châtellenie. Des minutes de l'étude et d'autres archives professionnelles sont retrouvées en partie chez lui sans qu'on en donne plus de détail.