Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Biographie ou Histoire
On observe ici que trois ressorts distincts (Dompierre, Murlin, Saint-Bonnot) se sont réunis pour optimiser leur fonctionnement, mais il n'était pas question de fusion malgré les appellations et les descriptions équivoques. Que l'on parle de "la chatellenie de Dompierre, Murlin et Saint-Bonnot-les-Forges" ou "des châtellenies de Dompierre, Murlin et Saint-Bonnot-les-Forges", elles partageaient un siège, et non un pouvoir.
Le prieur du prieuré Notre-Dame de La Charité-sur-Loire était, de par cet état, seigneur temporel et spirituel châtelain de la châtellenie. Ce fut ainsi dès 1734 avec Frédéric Deroye de La Roche-Foucault, archevêque de Bourges, comme prieur de Notre-Dame de La Charité-sur-Loire. On trouve aussi mentionnés Jacques Nicolas Colbert, frère du grand ministre, puis le puissant cardinal François Jouachim de Pierre de Bernis. Ce dernier était archevêque d'Albi (Tarn), comte de Lyon (Rhône), abbé commendataire des abbayes royales de Trois-Fontaines (Marne) et "Saint Médard de Faissoin" (Saint Médard de Soissons, Aisne), commandeur de l'ordre du Saint-Esprit, ministre d'État, et ambassadeur au Saint-Siège à Rome (Italie).
Histoire de la conservation
Chercher les archives de l'un des ressorts équivaut à interroger les autres châtellenies associées, sachant que l'essentiel se trouve dans le fonds du tribunal de Dompierre.
Mots clés lieux
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
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Date
Caractéristiques physiques
Histoire de la conservation
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