Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Biographie ou Histoire
En 1783, le roi autorise la réunion de sa châtellenie de Garchizy et d'autres ressorts (Chaulgnes, La Marche) de même nature avec la châtellenie de Pougues-les-Eaux. En fait, la réunion de Garchizy avec Pougues est déjà consommée, mais la réunion officielle aura lieu en 1787 seulement.
Il convient de savoir aussi qu'une partie de la paroisse de Garchizy n'était pas ressortissante de la châtellenie de Garchizy, mais ressortissait de la châtellenie de Pougues (40 B 11), et que des hameaux (villages, lieux-dits) de Garchizy alternaient entre cette paroisse et celle de Varennes-lès-Nevers (commune de Varennes-Vauzelles).
Histoire de la conservation
En plus de ce fonds et pour une grande part, les archives de la châtellenie de Garchizy sont à rechercher dans le fonds commun de la châtellenie de Pougues, quand la production a été non pas associée mais littéralement fusionnelle.
Certains greffiers ou officiers du siège commun de Pougues avaient pour habitude d'émarger leurs actes au nom du ressort producteur. L'on trouvera dans ce fonds relocalisé (40 B) de Garchizy des actes émargés au nom du ressort de Pougues. Peut-être le greffier ou l'archiviste se sont trompés de producteur, il s'agit d'affaires localisées à Garchizy en des endroits de la paroisse qui ressortissaient pourtant de Pougues.
Mots clés lieux
Mots clés matières
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Date
Caractéristiques physiques
Présentation du contenu
Contient en particulier :
En 1770-1772, la "Nicotte" abandonne le cadavre de son mort-né dans la grange des Autiève. Ils l'enterrent provisoirement dans leur cour pour prévenir la corruption du corps. Les vendangeurs témoins sont du Cher (Cours-les-Barres, Cuffy, Le Gravier, Patinges, Saint-Germain-sur-l'Aubois au lieu de Jouet). L'expérience appropriée du poumon flottant sur l'eau prouve que la petite est née viable, morte d'une hémorragie du cordon ou du moins par la volonté de la mère, qui a disparu.
En 1786, Marie Nazaire soignait ses violents maux de ventre en buvant beaucoup d'eau. Elle n'a recelé ni sa grossesse (elle l'ignorait), ni l'accouchement (soudain et public), ni la mort de l'enfant (amèrement et publiquement pleurée). C'est parce que le curé lui a refusé l'enterrement qu'elle a abandonné la dépouille sur la pierre du cimetière, avant de disparaître du pays. Il est désormais prouvé que l'enfant n'a été expulsé que longtemps après sa mort. Par contre, Marie disait n'avoir jamais connu d'homme (...).
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